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Degas selon Henri Loyrette: l’ancien patron des Musées d’Orsay et du Louvre renoue avec son artiste favori

Henri Loyrette, le 2 juin, devant Baigneuses (fusain sur toile, 1899) montrées dans l’exposition «Degas en noir et blanc», à la BnF, rue de Richelieu. SEBASTIEN SORIANO/Le Figaro

RENCONTRE - À l’occasion de son exposition à la BnF sur les dessins, estampes et photographies de l’artiste dont il est le principal biographe, tour d’horizon avec ce grand professionnel de la vie culturelle, en France comme dans le monde.

C’est son artiste fétiche. Un fil rouge (et noir) dans sa carrière et ses passions. Pour Henri Loyrette, qui a présidé aux destinées du Musée d’Orsay de 1994 à 2001, puis à celles du Louvre jusqu’en 2013 - qui connaît et apprécie en conséquence des milliers d’artistes anciens ou contemporains -, l’œuvre d’Edgar Degas (1834 - 1917) est peut-être la plus inépuisable.

Il l’argumente une nouvelle fois au cœur de Paris, sur le site Richelieu de la BnF, avec une exposition originale. Où se révèle la part abyssale d’un génie, d’habitude plus considéré pour ses féeries colorées - pastels ou huiles de ballerines à l’Opéra, scènes de la vie parisienne ou après-midi à l’hippodrome, d’ailleurs très applaudies actuellement au Musée d’Orsay au sein de la confrontation «Manet /Degas» (jusqu’au 23 juillet).

Se trouvent réunis là, presque exclusivement, des dessins, estampes et photographies. Soit une centaine de feuilles, si personnelles pour ce maître le plus indépendant de la génération impressionniste…

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