Avec « Shadow Kingdom », Bob Dylan réinvente ses classiques, et c’est un bonheur

Bob Dylan dans le film concert « Shadow Kingdom ».

Bob Dylan dans le film concert « Shadow Kingdom ». LEGACY RECORDINGS/SONY MUSIC

Critique  A 82 ans, le chanteur nobélisé puise dans son répertoire des années 1960 et 1970. Il y prend du plaisir. Nous aussi.

Ce « Royaume de l’ombre » porte bien son nom. Présenté comme un concert filmé au Bon Bon Club à Marseille (sic), il a été tourné pendant la pandémie en sept jours à Santa Monica par Alma Har’el, réalisatrice israélo-américaine (connue jusque-là pour son film « Honey Boy ») et, mis en ligne en mai 2021 pour le 80e anniversaire du génie, a disparu 48 heures plus tard de la plateforme Veeps.

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Dans le bar enfumé (atmosphère spectrale), les musiciens masqués qui jouent avec Dylan (dont Buck Meek, le guitariste de Big Thief, et l’accordéoniste Shahzad Ismaily) sont crédités dans le film mais remplacés par d’autres (dont T Bone Burnett et Don Was) sur la B.O. !

Sous-titré « The Early Songs of Bob Dylan », l’essentiel des chansons provient de sa trilogie majeure (« Bringing It All Back Home », « Highway 61 » et « Blonde on Blonde ») et de …

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