Comment l’UE anticipe et prépare sa défense face aux risques qui pèsent sur les élections
DÉCRYPTAGE - Ingérence, désinformation, corruption… Face à la multiplication d’affaires, Bruxelles craint pour l’intégrité du scrutin.
Bruxelles
Depuis février, plusieurs enquêtes ont visé des membres du Parlement européen soupçonnés de transmettre des informations à des puissances étrangères ou de diffuser de la propagande pour des gouvernements autocratiques. Face à la multiplication de ces affaires d’ingérence, l’UE craint pour l’intégrité de ses élections, prévues du 6 au 9 juin prochain.
À Bruxelles, on prend très au sérieux les différentes menaces qui pèsent sur le scrutin. En juin 2020, puis en mars 2022, deux commissions spéciales (INGE et ING2) avaient été créées afin de faire une analyse de l’ingérence étrangère et des problèmes de désinformation dans les processus démocratiques de l’Union. Les rapports produits par ces commissions ont permis à l’UE de mettre en place des outils législatifs et des méthodes pour contrer les agents d’influence étrangers.
Ingérence et corruption
Dans un rapport publié début mars, l’Observatoire européen des médias numériques a détaillé les tendances générales concernant les récits de désinformation lors des…
PATRICK CHARVET 1
le
C'est curieux quand le résultat ne correspond pas aux souhaits de l'oligarchie européenne...il y a fraude, quand elle correspond ! Ils ont réussi à contrer la fraude
La majorité des électeurs ne veut pas d'Europe fédérale, mais une Europe des nations !
Ajosse
le
Cette photo du Parlement Européen me met mal à l'aise. Impersonnel. Trop de députés. Leurs positions se déterminent nécessairement en dehors de cette enceinte. Je préfère l'image de personnes échangeant une poignée de mains.
anonyme
le
Mais l'UE génère elle même sa protection par une information auto proteçtrice La lâcheté extrême