Élisabeth Borne, une première ministre qui endure, dans l’espoir de durer
ANALYSE - Aujourd’hui, Emmanuel Macron n’est obligé de se séparer de sa première ministre ni parce qu’elle le tirerait vers le bas, ni parce qu’elle lui ferait de l’ombre.
Le problème des rumeurs n’est pas tant leur fondement que leur impact. Emmanuel Macron veut-il se séparer d’Élisabeth Borne? Par définition, lui seul le sait, et le chef de l’État n’est pas homme à dévoiler ses intentions à quelque cercle que ce soit. Les circonstances mêmes de la désignation de l’actuelle hôte de Matignon rappellent qu’il peut non seulement décider à la dernière minute, mais aussi changer d’avis sous la pression de certains.
Les bruits de remaniement au sommet s’appuient cependant sur des éléments objectifs. De la phrase «J’espère qu’elle y parviendra», lancée à la télévision le 24 mars à propos de la mission - impossible? - qu’il lui confiait d’élargir la majorité, à la divergence - puisqu’il ne faut pas parler de «recadrage» -, exprimée cette semaine en Conseil des ministres sur l’utilisation des «arguments moraux ou historiques» pour combattre le RN, les expressions présidentielles publiques sur sa première ministre vont toutes dans le sens du scepticisme, du désaccord…
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FowdeFwans972973
le
La mère Bornée...pour l'instant elle a battu le record d Edith Cresson...encore une socialiste gauche-caviar ou sociale traître...!..Elle ne représente plus rien, de toute façon elle n est qu une simple courroie de transmission de Macron et du CAC 40, des lobbies ....
Francoise17
le
Macron n'a rien d'autre sous la main. Ségolène Royale ne demanderait que ça, pourquoi pas Mme TAUBIRA ?, Macron riait beaucoup avec elle...
Will
le
Elle s'accroche comme une arapette. Pour s'occuper des français ou soigner sa retraite à elle ? Elle est vraiment hors tous sujets. A quoi sert elle?