Chronique

Le danseur Rudolf Noureev raconté par son ami Michel Canesi

LA CHRONIQUE DE TAHAR BEN JELLOUN. Les dernières années de Rudolf Noureev sont racontées par son ami Michel Canesi dans « Le Crépuscule d’un dieu ». Un précieux témoignage sur l’importance des liens d’amitié.

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Temps de lecture : 4 min

À la mort de Rudolf Noureev, le 6 janvier 1993, Jack Lang fit cette déclaration : « Les astronautes nous disent que les étoiles dans les cieux brillent bien longtemps après leur mort. Que la terre de France vous soit douce, mon cher Rudolf. »

Rudolf était une star, une grande star mondialement connue et admirée. Sa vie ressemble à un conte de fées. Elle a été aussi colorée que les vêtements qu'il portait, amples, baroques et chatoyants, pleins de lumière.

Le docteur Michel Canesi, dermatologue, a été son médecin et aussi son ami. Trois décennies après sa disparition, il le raconte dans Le Crépuscule d'un dieu*. Il se raconte et nous éblouit par moult détails de la vie de ce danseur, être unique, génie sans conteste, homme complexe, tyrannique et amical à la fois, entretenant des rapports...

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