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Sexe par-delà bien et mal, féminisme : ces inédits qui prouvent que Jean Genet n’a pas dit son dernier mot
Près de quarante ans après sa mort, Gallimard publie deux œuvres inédites de l’auteur du « Journal d’un voleur » : « Héliogabale », un drame en quatre actes, et un scénario, « Mademoiselle ».
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Sexe par-delà bien et mal, féminisme : ces inédits qui prouvent que Jean Genet n’a pas dit son dernier mot

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Près de quarante ans après sa mort, Gallimard publie deux œuvres inédites de l’auteur du « Journal d’un voleur » : « Héliogabale », un drame en quatre actes, et un scénario, « Mademoiselle ».

On n’en finit pas. On n’en finit pas d’exhumer des posthumes inédits de Jean Genet. Un court florilège : en 1986, à peine quelques mois après sa mort, encore en deuil de son enfant turbulent, les lettres françaises furent secouées par la découverte d’Un captif amoureux. Journal de bord issu de plusieurs séjours de pérégrinations parmi les Palestiniens, le livre dévoile un Genet engagé se fendant d’une virulente charge contre la domination occidentale, plaidant du même mouvement la cause des Noirs américains et celle des Palestiniens. Trois ans plus tard, en 1989, celui par qui le scandale est si souvent arrivé récidive. Dans Elle, une pièce inédite publiée par son fidèle éditeur Marc Barbezat aux éditions L’Arbalète, il blasphème joyeusement sa sainteté le pape.

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