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Samara était-elle une « BDH » ? Une rumeur courait dans son collège du quartier populaire de la Mosson, à Montpellier (Hérault). « BDH » pour « bandeuse d'hommes », la nouvelle insulte à la mode chez les ados. Soit la version moderne de « fille facile ». Étiquetée « BDH », Samara, 13 ans, a été passée à tabac jusqu'au coma par plusieurs collégiens. L'agression a eu lieu sur fond de comptes « fisha », soit la publication de photomontages humiliants accompagnés de propos « à caractère sexiste et sexuel », sorte de pilori digital.
Deux jours plus tard, c'est au tour de Shemseddine, 15 ans, d'être tué à mains nues dans un hall gris de Viry-Châtillon (Essonne), pour avoir osé échanger des messages « relatifs à la sexualité » avec une ado du même âge. Les grands frères de la jeune fille, âgés...
Quand finirons-nous par comprendre que le maintien de la femme en sujétion absolue est le combat suprême de l'islamisme ? Que le jour où, dans ce monde, les femmes se révolteraient, exigeraient d'être reconnues égales des hommes, libres de leurs actes et de leurs choix, ce jour marquerait la fin de l'islamisme (nous disons bien islamisme et pas islam, car on ne doit pas confondre). L'islamisme dissimule derrière les ardeurs conquérantes de la foi une farouche détermination : celle d'hommes qui veulent garder coûte que coûte leur domination sur la femme, un pouvoir féodal sans limite et sans contrôle, un servage. Quel confort pour le mâle, quel privilège d'échapper aux tracas et conflits que ses semblables rencontrent chaque jour dans les autres sociétés ! Quelle peur aussi de voir le mauvais exemple -occidental en particulier- saper lentement cette muraille et ruiner enfin le bel édifice que l'on veut éternel.
D'où cette police des mœurs qui s'arroge maintenant le droit de s'en prendre à de pauvres enfants ou adolescents coupables de
ne pas respecter les règles qu'elle impose, jusqu'à les exécuter avec des méthodes de gangsters ou de mafieux. Si la France est encore une démocratie et une république, il nous appartient de refuser, catégoriquement et par des actes implacables, que l'on veuille imposer sur notre sol d'autres lois, usages et coutumes que ceux de la République et des mœurs civilisées.
Si eux avaient un petit quelque chose entre les jambes ils seraient moins sourcilleux sur l’entrejambe de leurs femmes.
Je croise tous les jours des gamines qui, si elles n'étaient pas déguisées en Belphégor, pourraient être superbes...