Très prisé dans les séminaires d’entreprise ou le « coaching », le « vécu » a le double avantage d’être moins ennuyeux que le mot « vie » (raconter sa vie, c’est pénible, mais raconter son vécu, c’est une immense « valeur ajoutée ») et d’être beaucoup plus précieux que l’expérience, car le « vécu » intègre aussi le « ressenti ».
Le 3 février, la Dépêche titrait : « Le vécu des habitants au XXe siècle présenté demain à Miradoux ». Le 20 avril, c’est le quotidien belge la DH qui s’intéressait à « une balade sonore pour visibiliser le vécu des femmes dans l’espace public » à Namur.